Faussaires démasqués ou l'échec d'une infiltration de la VRT au Rwanda #rwanda #RwOT

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Cette tentative d'infiltration, vouée à travestir la noble célébration du cyclisme mondial en tribune de diatribes idéologiques, n'est rien d'autre qu'une supercherie de bas étage.

Car enfin, il ne s'agit pas, pour le Rwanda, d'avoir à se justifier auprès d'un média étranger ni d'un gouvernement tiers ; il s'agit pour la VRT et pour son émissaire, M. Stijn Vercruysse, de répondre de leur manquement à l'éthique professionnelle et de leur mépris affiché des règles qui régissent la presse sportive. Déboutés de leur tentative de fraude, empêchés d'embarquer sur un vol à destination de Kigali, ils n'ont pas même pris la peine de dissimuler leurs intentions : proclamer, haut et fort, qu'ils n'étaient point venus couvrir l'événement sportif, mais qu'ils ambitionnaient de dresser un portrait " critique " du pays hôte. Quelle insolence ! Quelle incongruité ! Et surtout, quel aveu de duplicité !

En Europe comme ailleurs, l'accréditation pour les grands événements sportifs répond à des normes strictes : carte de presse internationale, affiliation à l'Association Internationale de la Presse Sportive, enregistrement en bonne et due forme comme journaliste sportif auprès des autorités nationales. La VRT, en tentant de forcer les portes de l'UCI par une fraude caractérisée, s'est placée hors du champ de la légalité et de l'éthique. Aux États-Unis, pareille infraction vaudrait incarcération immédiate, expulsion et bannissement pour plusieurs années. Que l'on songe à ce contraste : là où d'autres auraient sévi avec la plus grande rigueur, le Rwanda n'aura même pas eu à lever le petit doigt, la manœuvre s'étant effondrée d'elle-même.

L'amertume d'un passé révolu

Mais cette affaire n'est pas isolée : elle s'inscrit dans une longue tradition de ressentiment, de cette nostalgie rance dont se nourrissent encore certains esprits belges incapables d'admettre que le statu quo colonial ou néocolonial a été définitivement balayé. Derrière la figure de M. Vercruysse, c'est un certain Swinnen, parangon d'aigreur et de rancune, qui se profile : éternel contempteur du Rwanda, il déverse sans relâche son fiel, s'abritant derrière des rapports sans sources ni rigueur, agitant des thèses complotistes comme autant de leurres pour conjurer l'éclat d'un succès qu'il ne saurait accepter.

Ironie du sort : ces hommes se parent des oripeaux de la " défense des droits humains ", posture grotesque pour qui n'a ni légitimité ni crédibilité pour délivrer des leçons. Leur obsession maladive se dévoile à chaque publication, à chaque article entaché de partialité, où perce la même marque : celle de l'amertume, celle d'une haine viscérale. Qu'ils s'en convainquent donc : nul ne se laisse abuser par leurs faux-semblants. Chaque tentative de subversion journalistique, chaque infiltration avortée, ne fait que confirmer l'ampleur du succès rwandais et l'échec cuisant de leurs entreprises de dénigrement.

Le Rwanda, pays qui accueille avec éclat le premier championnat mondial de cyclisme sur route en Afrique, n'a point de temps à perdre à répondre à ces esprits aigris. L'Histoire a tranché, le présent s'écrit avec assurance, et l'avenir se dessine au rythme d'une jeunesse qui avance, tandis que leurs cris d'orfraie, eux, s'évanouissent dans le vacarme des défaites réitérées.

La VRT a tenté de faire passer un journaliste politique hostile au Rwanda pour un journaliste sportif : une imposture flagrante

Tite Gatabazi



Source : https://fr.igihe.com/Faussaires-demasques-ou-l-echec-d-une-infiltration-de-la-VRT-au-Rwanda.html

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