Sassou Nguesso renforce les relations internationales du Congo, notamment avec la Russie, la Chine et la France, des puissances qu'il espère être utiles à son pays.
Sa visite d'État en Russie en juin 2024, marquée par des entretiens avec Vladimir Poutine et des accords dans les domaines du pétrole et du nucléaire, symbolise une diplomatie qui cherche à tirer parti de toutes les alliances sans compromettre les relations existantes.
Parallèlement, son rôle co-présidentiel au Forum sur la Coopération Sino-Africaine (FOCAC) souligne une volonté d'intensifier les échanges économiques avec la Chine, visant à augmenter la valeur ajoutée des exportations africaines vers l'Asie.
Concernant la crise libyenne, le président congolais continue de jouer un rôle de médiateur, cherchant à organiser une conférence inter-libyenne inclusive.
Cette démarche vise à stabiliser la région tout en renforçant le rôle de l'Afrique dans la médiation globale.
En interne, Sassou Nguesso répond aux critiques sur la gestion des crises économiques et sociales, notamment celles liées à la chute des prix du pétrole et aux impacts de la COVID-19.
En se dirigeant vers 2026, Denis Sassou Nguesso reste focalisé sur les enjeux de développement durable, de diplomatie environnementale et de coopération internationale.
Alors que l'année électorale approche, les yeux sont braqués sur Sassou Nguesso, non seulement pour voir comment il abordera ses futures ambitions politiques, mais aussi pour mesurer comment son approche diplomatique et ses politiques internes auront façonné le Congo sur la scène africaine et mondiale.
Bazikarev